résumé
Résumez l'article précédent. Les personnes perspicaces peuvent voir que, que le véhicule soit modifié ou non, la clé finale pour obtenir une licence est de savoir si sa spécification viole le [référence de sécurité]. Par exemple, si des composants de becquet sont installés à l'avant de la voiture, même si la taille et le poids de la carrosserie ne changent pas au-delà de la limite, une fois que la conception des composants de becquet viole le [référence de sécurité], ils ne seront pas libéré (imaginez simplement que si la lèvre de la tête est équipée d'un couteau bien aiguisé, peu importe à quel point la taille répond aux exigences, il est impossible de la laisser danser avec la rue). En revanche, à Hong Kong, les performances et les spécifications de sécurité des véhicules suivent souvent les lois d'origine des véhicules. Avant que les États-Unis, le Japon, la Corée du Sud et d'autres grands pays automobiles n'aient des réglementations complètement unifiées, il est difficile de formuler des directives de modification claires. Cependant, si les départements concernés peuvent faire plus de publicité, donner aux propriétaires de voitures des conseils simples sur les projets de modification courants, et il existe des réglementations selon lesquelles les produits qui répondent aux exigences doivent être accompagnés d'étiquettes, même si cela ne se transformera pas en une conception et une production centre de pièces modifiées, les propriétaires de voitures savent au moins s'il est illégal de changer des bâtons de vague ou d'accrocher des animaux en peluche sur la lunette arrière de la voiture. Il n'est pas possible pour le marché libre de réglementer modérément et d'ajuster les lois et règlements en fonction de la situation réelle.
